Faute d’une documentation adéquate, mon étude des professionnels de la santé se réduit en fait à celle des médecins. Je n’ai pas pris en compte les deux sages-femmes, le seul infirmier et les trois seplasiarii connus par les textes épigraphiques, ni les vétérinaires qui mériteraient à eux seuls une étude. Malgré leur nombre imposant, j’ai laissé de côté les cachets d’oculistes, qui ont été publiés à deux reprises par le docteur opthalmologiste J. Voinot, car il est presque toujours impossible...