Une nouvelle méthode d'évaluation des déformations et de prédiction des couches de protection requises placées sur des géomembranes dans le cadre d'un projet est développée en fonction des effets combinés de la résistance et de la rigidité de l'argile et de l'effet d'amortissement d'une couche de protection non tissée. Des courbes représentant la protection géotextile adéquate pour différentes déformations maximales sont présentées pour des pressions de décharge prévues inférieures à 300 kPa pour du gravier angulaire de 38 mm placé au-dessus d'une géomembrane pour des conditions de charge de l'argile drainées et non drainées. Une courbe similaire est aussi présentée pour des agrégats dérivés de pneus placés au-dessus de la géomembrane pour des pressions inférieures à 500 kPa dans des conditions de charge non drainées. Les différents essais ont été réalisés à température ambiante. Les couches de protection géosynthétiques non tissées dont la masse surfacique (MUA) dépasse au moins 1200 g/m2 ont été requises dans tous les cas pour limiter les déformations à long terme en deçà des seuils actuels. La MUA de la couche de protection, en ce qui concerne les agrégats et géomembranes particuliers testés, dépend du taux de chargement, de la teneur en eau par rapport à l'optimum, de la teneur en limon et de l'activité de l'argile située en dessous. [Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]