Le diagnostic de primo-infection à la toxoplasmose est posé au cours d'un syndrome d'activation macrophagique (SAM) qui sera traité par une chimiothérapie par étoposide. Un mois plus tard, apparaît une adénopathie sus-claviculaire droite, dont l'examen anatomopathologique montre un lymphome T anaplasique ALK+. La toxoplasmose se complique-t-elle d'un SAM qui s'autonomise par la suite en lymphome T, ou bien le patient était-il atteint d'un lymphome T latent, qui a été révélé par un SAM induit par une toxoplasmose ? [ABSTRACT FROM AUTHOR]