Le diable n’est pas la figure théâtrale qui s’impose lorsque l’on évoque le vaudeville. Pourtant, c’est là le point de départ de l’essai de Henri Rossi, le diable est bel et bien, sinon personnage récurrent, du moins personnage fréquent dans un répertoire plutôt attaché « à la plus banale quotidienneté ». Quel sens donner à cette intrusion ? Telle est la question posée par l’auteur. Dès l’introduction ce dernier indique les pistes qu’il entend suivre. Si le diable s’est depuis longtemps impos...