Si au-delà de toutes les mouvances du domaine scientifique, de toutes les mutations hautement proclamées, de ces manières de dire, de ces décors nouveaux, n’essayait-on pas de jouer la même pièce en la modernisant, comme on peut jouer Phèdre en costumes du xxe siècle ? Si l’affirmation de sa métamorphose n’était qu’une assurance donnée à soi-même, un gage pour prouver sa modernité ? Si tout ce bruit, ces interrogations sincères, ces discours intempestifs ne traduisaient que l’évolution normal...