La modération d'un échange entre deux écrivains (et davantage) est devenue l'occasion de réfléchir et d'essayer d'établir des habitudes de prolongement - en amont et en aval - des rencontres académiques, en vue de la réflexion et de la discussion des thèmes analysés, en l'occurrence l'expérience de la littérature (écriture et lecture) à l'ère du numérique. L'article se propose donc de présenter les raisons et de réfléchir sur les résultats d'une brève expérience à cet égard, qui découle de la conviction qu'il est nécessaire d'inventer de nouveaux modèles de partage des connaissances entre pairs, en particulier dans le domaine des Humanités. [ABSTRACT FROM AUTHOR]